Peintures croisées de couples à la dérives, Vous allez rencontrer (etc.) est une livraison typiquement allénienne, option "pas trop d'humour". Les quelques étincelles allumées par le très beau casting rendent d'autant plus rageante la paresse de l'écriture.
Resident Evil version film a touché le fond, mais creuse encore et encore. Scénario absent, performances d'acteurs inexistantes, et réalisation tape-à-l'oeil. Vous savez quoi ? En plus, c'est en 3D !
Bien que farouchement inégal, ce film humoristique sait réjouir à plusieurs reprises grâce à ses éclats de rire, mais peine à faire sourire lors des accumulations de vulgarités (devenues un standard ?).
Face à face entre un jeune idéaliste trader et un vieux briscard de la finance qui n'hésite pas à jouer du côté de l'illégalité et des coups bas pour se refaire. Sans doute pas le meilleur Oliver Stone, mais la qualité est tout de même au rendez-vous.
De l'horreur comique à l'arrache, tournée avec les pieds, sans un rond et sans idée. L'humour geek bas du plancher, avec scatologie atterrante et dialogues ineptes, semble avoir séduit les publics de plusieurs festivals.
Si Meg Ryan est une routarde de la comédie romantique, ce n'est pas le cas du discret William H. Macy, qui donne tout son sel à ce petit film sympathique sur les coulisses d'Hollywood.
Dans un lycée des Yvelines, Simon Werner manque à l'appel. Entre fantasmes et désirs, les autres élèves ont bien du mal à cerner la réalité.
Un premier film de Gobert mêlant teen-movie et univers intimiste.
Le cinéma d'horreur malais ressemble à n'importe quel autre. A découvrir un soir d'automne, puis certainement à oublier aussi sec.
Plus qu'un film sur les conséquences de la colonisation, Des hommes et des dieux est une réflexion sur la spiritualité, sur le choix et sur le « vivre ensemble ».
Le coffret consacré l'an dernier aux films de Méliès ressort le 27 septembre, enrichi d'un DVD supplémentaire non négligeable. En tout, 200 courts métrages et un moyen métrage constituent ces 15 heures de découverte émerveillée.
Disney rentabilise sa star adolescente Miley Cyrus dans un film sans grande ambition, où la médiocrité des péripéties côtoie les bons sentiments habituels. Même musicalement, Hannah s'en sort mal.