Combattre le mal par le mal, un tueur contre un tueur, telle est l'idée de la police thaïlandaise lorsque les victimes ne cessent pas de s'enchaîner. Malheureusement, l'enquête et le sang deviennent vite bien pâles lorsque le rythme tombe au champ d'honneur et que le héros devient bien moins violent qu'on aurait pu l'imaginer.
Un direct-to-video sympathique et plein d'action, qui jouit d'un casting haut de gamme. Rien de bien surprenant, mais trente tueurs lâchés dans une ville constituent un spectacle divertissant.
Le mariage en rempart de l'amour d'autrui ? Pas si sûr... Keira Knightley et Sam Worthington en sont pour leurs frais. A leur décharge, il est difficile de résister à Eva Mendes et Guillaume Canet... Un film séduisant et intime.
A vingt-neuf ans, Mark Wahlberg interprétait Melvin Smiley, un tueur aux états d'âmes étonnants, dans Big Hit. Pas très intellectuel, mais rigolo et bien troussé.
En 1943, la France traversait une sombre période. La Main du Diable reflète l’humeur de l’époque : paranoïa, culpabilité… Et pourtant, la société de production était pilotée par Goebbels !
Du grand spectacle moyenâgeux bas de plafond, sans âme et sans idées, où barbotent difficilement Nicolas Cage et Ron Perlman.
Bonne surprise que ce héros des années 40 déterré par le réalisateur français Michel Gondry. Tout n'est pas de premier choix, mais le produit est suffisamment mûr pour s'apprécier sans effort intellectuel.
Sofia Coppola, toujours très attendue, délivre une tranche de vie de star en détresse. C'est un peu long, un peu ennuyeux et il ne s'y passe pas grand chose. Pourtant, on finit finalement par s'attacher, en regrettant simplement que tout n'aille pas plus loin, vers un sens plus évident.
Effets visuels novateurs en son temps mais aujourd'hui dépassés, scénario superficiel, acteurs pas très impliqués, péripéties sans grand intérêt, etc. Tron a bien mal vieilli...
Depuis Sixième Sens, M. Night Shyamalan perd peu à peu de sa superbe. Dans Devil, co-scénariste et producteur, il nous conforte dans l'idée que son génie créatif est en panne d'inspiration.