Fini les gamineries, Zac Efron veut faire du drame ! Dommage que son histoire de petit fantôme ne tienne pas trop la route...
Le nouveau film de Danny Boyle, malgré son énergie et son optimisme, est plus proche de son cinéma extrême, façon Trainspotting ou Sunshine, que de la semi-guimauve d'un Slumdog millionaire.
Après son excellent Vol 93, Paul Greengrass revient traiter du conflit opposant les Etats-Unis avec le Moyen Orient. Sa guerre en Irak tient beaucoup du film d'action, mais n'oublie pas de dénoncer les agissements frauduleux des politiciens.
Une autre ignominie des scénaristes / réalisateurs Friedberg et Seltzer, qui parodient l'univers de Twilight cette fois-ci. Une promesse de réjouissances pour certains, mais le film est tellement mauvais qu'il n'est amusant pour personne.
Une oeuvre intelligente, sensible, sans prise de tête, qui revient sur les quelques années précédant la seconde guerre mondiale pour nous présenter le grand malheur du futur roi George VI.
A l'image de son Jeff Bridges jeune, TRON l'héritage est un film extrêmement synthétique, pour le plaisir des yeux et des oreilles uniquement.
Un film d'animation avec des nains de jardin... même en 3D ça a du mal à passer. Plutôt indigeste et de mauvais goût. Parions que ceux qui arriveront à s'accrocher et à oublier l'univers de céramique y trouveront un peu de grâce. Mais pas nous.
Hommage aux crânes d’œuf les plus marquants du petit et du grand écran...
Julianne Moore et Jonathan Rhys-Meyers sont les deux piliers de ce thriller psychologique malheureusement teinté de fantastique religieux.
Une comédie noire et rouge sans pitié, qui a révélé Ewan McGregor, Christopher Eccleston et le réalisateur Danny Boyle en 1994 (1995 en France). Trainspotting ne tarderait pas à suivre…
Wesley Snipes revient pour jouer les héros dans un film d'action très standard, et donc très prévisible.
Rubber est l'histoire d'un pneu tueur. Cette simple phrase a sans doute convaincu un étrange producteur de lâcher quelques dollars sur un film qui pouvait virer au chef d'œuvre humoristique ou au slasher routier. Il n'en est rien puisque Rubber hésite entre un film d'horreur tout mou, un essai bizarroïde sur la façon la plus limitée de décrire la vie d'un serial killer et une non moins étrange réflexion sur le rôle du spectateur dans le déroulement d'un film.