Tout dans les mollets, rien dans le cervelet. Le Hulk nouveau est arrivé, et il ne fait pas dans la dentelle. Dommage, la présence d'Edward Norton et Tim Roth laissait espérer un peu plus de substance.
Expérience 3D ébouriffante, la vision de cette production fait plus penser à un tour de manège qu'à une adaptation de Jules Verne. Mais ce dernier n'avait-il pas pour but premier de faire rêver ses lecteurs ?
Cette année-là, c'était l'année 1990. Et c'était l'heure de passer le bac pour les héros de ce film drôle et tendre. Une bonne surprise de l'été, avec une distribution intelligente et talentueuse.
Friedberg récidive en parodiant le péplum 300, et nous rappelle également que l'humour est quelque chose de très relatif. D'immensément relatif...
Les 400 coups version 2008, où l'équivalent d'Antoine Doinel se fait piquer la vedette par un duo inattendu. Imparfait mais pas inintéressant.
Marc Levy adapté par sa sœur, c'est l'assurance d'un texte respecté dans toute sa tendresse (mièvrerie ?) badine, rehaussé par la présence de très bons acteurs. Transparent mais distrayant.
Will Smith en super-héros dépressif et blasé ? Le personnage est intéressant, mais l'intérêt de Hancock réside au-delà. Une vraie surprise, mélange de naïveté et d'intelligence, qui renonce à être un gros film d'action pour se contenter d'être un très bon film.