Le Grand Prix du dernier festival de Cannes est un témoignage brut et démystificateur sur la mafia napolitaine. Edifiant, mais peut-être pas assez enjolivé pour être un bon moment de cinéma.
Vous avez des cafards, des souris ou des lézards dans votre cuisine ? Rappelez-vous que dans les années 80 et 90, c'était pire : vous pouviez être infestés de créatures surnaturelles et vicieuses.
Contrairement à ce qu'on pouvait craindre, aucun acteur ne tire la couverture à lui dans ce film de super-héros façon polar, dont le scénario souffre (une fois n'est pas coutume) d'une intelligence excessive.
Une jolie surprise en provenance du pays des caribous. Pas de quoi hurler à l'originalité, mais le film est d'un meilleur niveau que ce qu'on attend en cette saison, et ne donne pas dans le panneau de la comédie grasse.
Pour changer, une momie veut gouverner le monde, et les O'Connell s'y opposent. Sauf que cette fois, il n'y a pas de bandelettes. Horreuuuuuuuuuuuur !
Jason Statham, en ancien braqueur rangé des bagnoles (ou plutôt pas, puisqu'il est concessionnaire) se retient de tabasser le casting dans ce polar ultra-classique, inspiré de faits réels.
Fini le papier toilette, place à l'ère informatique ! La momie la plus numérique de tous les temps nous explique, à travers la vision de Stephen Sommers, pourquoi les malédictions, c'est le pied...
Mulder et Scully sont de retour... On a du mal à le croire et encore plus à l'avaler.
Parfaitement calibré pour un public très enfantin, Wall-e est un film simple et efficace, pour peu que l'on appartienne au public cible.
Trait d'union entre les saisons 5 et 6 de la série, Combattre le futur fut une semi-déception pour les fans de X-files qui le découvraient en 1998. Aujourd'hui, l'impression se confirme : le film est inutile.