Une journaliste et son cameraman suivent une équipe de pompiers dans un immeuble où l'horreur se déchaîne.
George Clooney scénariste, acteur et réalisateur vous invite au coeur des années 20, où son cœur balance entre celui d'une belle et un terrain de foot. Jazzy et pétillant.
Un polar à l'ancienne, avec intrigue à tiroirs et casting de stars. Sans être à proprement parler génial, c'est mieux que ça en a l'air.
Film maîtrisé et intense dont la chaleur corporelle dégage les envies les plus froides et les désirs les plus morbides, définissant un univers possible pour toute âme qui aurait pu sombrer. Un travail d'orfèvre à regarder et à écouter, une pause dans un contretemps incertain entre deux battements de coeur.
Bertrand Blier signe ici son plus beau film. Il le fait avec tact et dans une composition si réussie qu'elle laisse les larmes de joie couler sur des larmes de bonheur. Une intensité émotionnelle aussi rare que l'acteur principal de ce drame, ici dans son plus beau rôle.
Un robin des bois prend aux riches.
Fernandel interprétant plusieurs rôles dans le même film, c'est arrivé plusieurs fois. Mais Fernandel en cow-boy, c'est une curiosité qu'on ne vit qu'une seule fois.
La jeunesse de Gengis Khan, par un réalisateur Russe... Dépaysant et réussi.
Un petit groin de paradis ?
Une suite tardive à peine à la hauteur de l'original, dans laquelle seul Benoît Poelvoorde tire vraiment son épingle du jeu. Pas même assez nunuche pour rivaliser avec les autres titres contenant l'appellation « Saint-Tropez ».
Malgré un sujet fort et un duo d'excellentes actrices, le premier film de l'écrivain Philippe Claudel chausse de trop gros sabots pour convaincre complètement.
Onze ans avant sa suite, Les randonneurs réunissait une galerie de jeunes acteurs pleins de promesses autour d'un scénario pertinent mais un peu léger. Sympa mais pas culte.
Los Angeles est tombé en 2013. New York l'a suivi dans sa chute en 2019. Londres a été décimée en 28 jours. Privée de produits pétrolifères, l'Australie est un chaos sauvage. 2035, voici venir Glasgow et son virus mortel, prêt à jeter la mort sur l'Ecosse toute entière... Y a pas à dire, le futur, ça fait pas envie.
D'un cynisme et d'une violence comme seul Paul Verhoeven sait en injecter dans un film de divertissement, RoboCop eut le malheur de connaître une descendance honteuse. Dans une vidéothèque, on pourra se contenter des deux premiers films.
Disco est un film à tendance one man show plutôt raté sur ces deux mêmes niveaux. Avis aux amateurs de Didier Travolta ainsi qu'aux fans de Franck Dubosc mais l'ensemble est assez lourd. Quelques bonnes blagues toutefois...