Surenchère de gags et d'exotisme dans ce deuxième opus, qui ne prétend pas servir un nouveau plat mais simplement affiner la recette. Plus d'assaisonnement, meilleure cuisson... Hubert est toujours aussi bath.
2009 marque les soixante ans de l'agent OSS 117, alias Hubert Bonisseur de la Bath. 255 livres, 12 films, le personnage est devenu un objet de dérision au moment même où James Bond recommençait à se prendre au sérieux.
Une édition DVD bien vide, mais techniquement irréprochable. Le Blu-Ray se montre mieux fourni, mais toujours en deçà de nos attentes...
Erwin Wagenhofer laisse la parole aux financiers. On écoute. On regarde. On soupire. On pleure. On se met en colère.
Un petit Proyas plutôt frais et efficace, même si au fil du temps, Dark City s'imposera peut-être comme un incident de parcours dans la filmographie de ce sympathique artisan...
John Woo revient aux affaires pour les besoins d'un film en costume. Un bulletin de santé rafraîchissant pour un cinéaste qui a toujours eu du mal à retrouver la flamboyance de ses oeuvres passées.
Une fois n'est pas coutume, Darren Aronofsky s'efface derrière ses acteurs. Mickey Rourke prend toute la place dans ce film simple mais touchant, où le combat s'avère aussi rude dans la vie que sur le ring.
De belles performances physiques, mais une pauvre performance artistique. La jeune génération d'action à la chinoise a besoin de plus de considération !
Dans ce film qui fait écho aux douloureux retentissement de la crise et aux moeurs profondément ancrées dans son pays, Kiyoshi Kurosawa nous parle de l’aspiration ou du renoncement au bonheur.
Le cinéma sud-coréen est désormais la tête de proue du cinéma asiatique et nous propose une nouvelle réussite, sur le thème du serial killer.
La débâcle. Jeu poussif des acteurs, rythme haché, humour tombant à plat... Heureusement, on y voit un éléphant, un lion, une girafe, deux guépards et un costume de singe.
Monstres contre Aliens, le nouveau Dreamworks, souffre d'un scénario trop premier degré et trop simpliste qui se voit vite oublié par l'attrait technologique des lunettes 3D.