Dubosc accroche les disques de diamant de Bénabar dans les toilettes. La comédie n'est pas trop osée, mais elle reste plaisante.
D'une ringardise instantanée, Le missionnaire parvient presque à rendre sympathique son absence totale de qualité. Mais attention, ça reste une merde.
Lorànt Deutsch dans un survival tendu ? Ah oui ! Ben non. Mais c'est sympa quand même. Profitez-en, parce qu'on ne risque pas de le revoir dans un film de ce genre de sitôt.
Un remake d'une réussite inespérée qui se pose en jolie relecture d'un des films les plus marquants des années 70. Qui l'eut cru ?
En 1994, deux maîtres de l'horreur s'essayaient à la mise en abîme vertigineuse de leur discipline. Wes Craven contre John Carpenter, le cérébral contre le viscéral, Freddy contre Lovecraft...
Avec une certaine honnêteté, ce slasher en relief délivre ce qu'on attend d'un slasher en relief sans se casser le bol outre mesure. Vendredi 14 ? Heyyy, ça marche, si on est en février !
Une bande de disc-jockeys pirates inonde l'Angleterre de bon vieux rock à partir d'un bateau en mer. Ça donne envie de balancer un "fuck" retentissant.
Retour aux sources pour Logan. Comment le petit loup aux griffes en os devient l'invincible Wolverine au squelette en métal ? Réponse inside.
Zac Efron ne chante pas, et ne danse pas. Mais rassurez-vous, mesdemoiselles, sa petite mèche châtain s'agite au vent comme jamais !
Tommy Lee Jones à la recherche d'un tueur dans le bayou... ça donnait l'eau à la bouche. La pilule a finalement un goût amer de reviens-y pas.
James Wong dénature complètement la série en proposant une évolution sonnant davantage comme une régression. Le manga est sauf, son potentiel cinématographique beaucoup moins.