Jaoui, Bacri, Debbouze. Vous n'y croyez pas ? Il fut un temps, nous non plus, mais l'évidence est là : tout le monde est à sa place, en tant que comédiens. Mais peut-être pas leurs personnages...
Mirrors est un film plutôt efficace mais qui ne renouvelle malheureusement pas le genre horrifique. A voir pour se faire peur.
Le polar à l'islandais, vous connaissez ? Non ? Ca ressemble à un peu à un polar français. Ou allemand. Enfin, c'est pas mal, quoi, sans prétention mais pas mal.
Meryl Streep, Pierce Brosnan et leurs potes chantent ABBA. On est content pour eux, mais ils pourraient aussi bien le faire sous leur douche.
Fidèle à la série mais un peu timoré, ce Max la Menace cinéma sous-exploite son potentiel. La double approche espionnage/comédie aurait pu décupler le rythme, elle se contente de le paralyser un peu.
Film danois décadent et décalé rempli d'humour brutal et teinté d'existentialisme amusé. Un plaisir de bons moments mêlés d'incompréhension et d'angoisse. Très bon mais très rude.
Très bonne maîtrise des personnages dans ce thriller pictural et humaniste aux couleurs sombres du coeur des hommes. Un beau travail, une alchimie qui crève l'écran. A manger avec avidité.
Le meilleur pour les fans d'Adam Sandler (qui sont rares) et l'humour pur pour les autres sur fond de conflit Israëlo-Palestinien. Le pire du tout avec un message qui décoiffe.
Avec Be Happy, Mike Leigh tranche sèchement avec sa réputation d'auteur dramatique. Paradoxalement, c'est son ode au bonheur qui nous fait le plus mal, alors que le mot "agaçant" trouve un nouveau synonyme : "Poppy".
Les films des frères Lumière ont posé les standards des plus grands divertissements cinématographiques actuels. De l'action, du suspense... Bon d'accord, on déconne.
Martin Scorsese filme La Couleur de l'Argent, la suite un peu stand-alone de l'Arnaqueur. Paul Newman y prend sous son aile le jeune Tom Cruise, encore un peu chien fou à l'écran comme à la ville.
Film culte adapté de Pierre Boulle, oscarisé en 1957, Le pont de la rivière Kwaï démontre l'inutilité de la guerre et sa profonde bêtise.
Un film émouvant et sincère, qui traite un sujet casse-gueule avec une retenue appréciable. Le casting est à la hauteur, même si Lambert Wilson en fait un poil trop dans le rôle principal.
Sphere n'est pas Rain Man, c'est un fait. Mais c'est bien. Et puis c'est tout. Un film de boule rondement mené (sorry).