Elle est là, derrière une devanture d'immeuble, chez votre voisin. Elle est là et attend son heure. L'heure de se débarrasser de l'humanité. L'armée des 12 singes !
Le fantastique côtoie la sobriété des années 70, l'angoisse côtoie l'ennui. Appuierez-vous sur le bouton de la machine, pour prendre un ticket ?
Le baron (de) Münchhausen (avec un h ou deux, avec ou sans accent), bien qu'ayant vraiment existé, s'est rapidement confondu avec son alter-ego le baron de Crac, voyageur fantasque en perpétuelle vadrouille entre Saint-Pétersbourg, la Turquie et la Lune.
Un petit Jeunet, qui recycle un peu poussivement les univers de ses films précédents pour étoffer une charge assez primaire contre les marchands d'armes. Les idées bouillonnent, mais n'ont pas grand-chose à cuire.
Un film si exceptionnel qu'il donna son nom à un pays, une chanson et un magazine. Comment ça, pas tout à fait ?... Laissez-nous rêver, avec l'aide du cynisme riant (ou de l'optimisme grinçant) de Terry Gilliam.
Patar et Aubier réussissent à exporter leur univers décalé sur grand écran. Coboy, Indien, Cheval vous attendent. Allez-y vite !
Dubosc se promène de film en film, marchant sur la corde raide d'un méta-film mal fichu mais loin d'être antipathique. Pour peu qu'on aime autant les films mal fichus que les grands classiques.
La dernière répétition de Michael Jackson, avec ses frustrations, ses regrets, ses moments forts et la perspective de ce qu'aurait pu être la tournée This is It. Ou pas...
De la peur, du suspense, de l'érotisme... Il y a tout dans Orgy of the dead. Poussez la porte du cimetière, qui sait ce qui peut se passer ?
Un remake amerloque du film d'horreur coréen 2 sœurs. Particularité amusante : la réalisation est assurée par deux frères. Sorti de là, rien de bien palpitant.