Même s'il a renié ce premier film, David Fincher a réalisé le meilleur épisode de la saga Alien où s'entrecroisent religion, féminité et bestialité violente.
Avant Avatar, James Cameron s'était évadé dans l'espace avec Aliens, la suite du film de Ridley Scott, pour un film essentiel tout en étant décevant.
Alien. Un titre évocateur, un univers phobique qui ont marqué des générations de spectateurs. Un film qui a su traverser les âges sans encombre. A voir et à revoir.
Et si la fin du monde, c'était marrant ? Rythmé, bardé d'idées visuelles croquignolettes, ponctué par les constats ironiques du héros, le film contient bien quelques instants pathos vite désamorcés mais ne se départit jamais de sa bonne humeur.
Après douze ans d'attente, James Cameron revient enfin à la fiction, à travers un film qui fera date dans la chronologie des effets spéciaux. Et le réalisateur n'a rien perdu de sa superbe.
Arnold Schwarzenegger nous fait la totale à grands coups de millions de dollars. James Cameron est content, après Terminator, il va enfin pouvoir recaser une explosion nucléaire.
Trois types de rencontres, trois versions ; deux lettres, deux versions : Steven Spielberg a de la suite dans les idées, même s'il déclare aujourd'hui ne plus être l'homme qui a réalisé ces fresques de science-fiction naïves, sensibles et optimistes.
Le dernier film de Claude Berri, au résultat malheureusement antagoniste au titre. À regarder par temps de chien...
Transformers 2 - la revanche, injuste oublié de notre éditorial, sort en DVD cette semaine. L'occasion de faire un rattrapage, à 200 millions de dollars.
Un film aussi brillant que dérangeant, aussi poignant que juste, aussi bouleversant que passionnant et dont on ne ressort pas indemne. Couronné par des acteurs exceptionnels, il est majestueux par tous les messages que, sans vanité, il transmet.