Coppola en noir et blanc pour évoquer des problèmes de famille. Joli, efficace, mais un peu démesuré...
Meryl Streep, Alec Baldwin et Steve Martin sauvent de leur présence une gentillette comédie romantique, dont la seule (relative) originalité est d'aborder le thème des familles tardivement recomposées.
Une poignée de clichés essaimés entre le bitume de Paris et le soleil de Miami. Les acteurs ne sont pas vraiment à leur place, et l'aventure ne convainc jamais. Et Manu Payet en équivalent de Tommy Lee Jones, sérieusement...
Une troupe du GIGN local escorte un prêtre exorciste à la mission nébuleuse dans l'immeuble sinistré du premier opus.
La route présente les mauvais penchants de l'âme humaine. A moins que ce ne soient les bons. Tout dépend du point de vue, comme pourrait le laisser penser un Matheson de passage.
Jack Frost nous narre sans sourciller l'histoire d'un tueur sanguinaire nommé Jack Frost qui, tentant l'évasion, accumule la lose en se faisant stopper dans son élan et asperger par un produit chimique ultra-mystérieux qui passait par là.
Un film de Noël très limité intellectuellement, comme c'est souvent le cas, doublé d'une famine humoristique assez gênante.
Beaucoup de sagas d'horreur sont comme le supplice du pal : elles commencent bien mais finissent mal. Ici, ce serait plutôt l'inverse, bien que le concept de père Noël tueur se dilue rapidement dans le n'importe quoi.