Les liens d'amour et de sang de la Comtesse Bathory. Une oeuvre intimiste et surprenante tournée par une Julie Delpy qui ne démérite pas dans le film en costume.
En étant simultanément le film de science-fiction le plus réaliste et le plus ésotérique jamais fait, 2001 a marqué les spectateurs de son époque. Une quarantaine d'années plus tard, le film reste hypnotisant et continue de générer d'innombrables interprétations.
Enter the void promettait d'être une véritable expérience cinématographique entre mort et hallucination. Le retour à la réalité, à cause d'une fin ratée, est dur.
Une suite à l'image du premier opus, sans grand intérêt scénaristique, si ce n'est de tourner en déconne le camping et ses petites joies. Dubosc est égal à lui-même.
Qui l'eut cru ? Lorsque l'univers de Tardi prend une forme cinématographique, il devient un croisement entre Indiana Jones et Jurassic Park dans le Paris d'Arsène Lupin. Luc Besson s'approprie le matériau, et le résultat n'est pas désagréable.
Bientôt sur vos écrans, la première apparition du croquemitaine Freddy Krueger. What ? Pardon ? Petit rappel : n'en déplaise aux amateurs de reboots, Freddy a été créé à l'écran en 1984, puis incarné par le seul et unique Robert Englund dans huit films et une série télé.
Le grand retour de Jennifer Aniston sous les projecteurs ? Bien sûr que non, juste une petite comédie romantique avec un zeste d'action qui a du mal à décoller.