Looking for Eric est la chronique d'une vie partie à vau-l'eau mettant l'homme et ses peurs, ses doutes et aussi ses espoirs au centre du monde.
Le nouveau mélo d'Almo, qui aime toujours autant son égérie Penélope Cruz que le cinoche en général. Sans doute un peu trop long vers la fin, mais le plaisir est là.
Un film destiné à la gente féminine, et encore. Le peu d'attraits et l'indigence de l'ensemble aura tôt fait de le jeter dans les bacs à DVD en promo.
En 1984, James Cameron et Arnold Schwarzenegger décrochaient la timbale avec un petit film d'action ancré dans une science-fiction échevelée. Ils étaient loin d'imaginer que l'histoire continuerait 25 ans plus tard.
Un bon gros tour de train fantôme, qui montre que Sam Raimi est resté le grand dégoûtant qu'il était à l'époque du premier Evil Dead.
Sans doute pas aussi réussi que L'étrange Noël de M. Jack, mais on y retrouve la personnalité de son réalisateur Henry Selick, servie par de nouvelles technologies et une histoire universelle.
Loin de l'insipide Da Vinci Code, Anges & Démons est une efficace course contre la montre qui fait fi de toute crédibilité. Mais du coup, ça passe mieux.
A la croisée du cinéma d'épouvante de l'âge d'or et du super-héroïsme torturé tel qu'on le pratique aujourd'hui, Darkman reste à ce jour le meilleur film de Sam Raimi, qui se contentera d'en décliner une version familiale dans Spider-man.
Johnnie et Johnny s'allient pour un "Charles Bronson à Hong Kong" plutôt primaire mais pas dépourvu de panache. Sa présence en compétition à Cannes reste pourtant assez mystérieuse.
Ennui britannique dans un film au scénario désuet et finalement bien fade. Le réalisateur de Priscilla folle du désert, après dix ans passés loin des caméras, semble avoir les articulations rouillées.