Chuck contre la science, une rencontre prometteuse mais au final très décevante. Peut-être que l'absence de barbe y est pour quelque chose ?
Mis sur le devant de la scène grâce aux Oscars, Démineurs revient à la vie après une existence en salles des plus courtes. Un grand oublié de nos colonnes, malgré une somme de qualités inhabituelle pour un film de ce genre.
Le Mac s'y connaît en racolage, en témoignent ses affiches parodiant Kill Bill. Etonnament, le film n'est pas qu'une comédie enchaînant les gags plus ou moins lourds. L'histoire et l'image rendent le film plus consistant par l'exploitation des codes propres aux films de gangsters. Une bonne surprise.
Adolescente sans autres soucis que ceux de son âge, Suzie se voit obligée de quitter le monde des vivants suite à sa rencontre avec un voisin serial killer. Désormais âme en peine, elle va entretenir tant bien que mal un lien avec sa famille tout en tentant de faire arrêter son meurtrier...
Trois actrices françaises refont Thelma et Louise version sexagénaires frustrées sous la caméra du réalisateur de Foon. Mauvais ? Hey, what did you expect ?
Ils sont velus, ils sont tous là : les loups-garous de tous poils ont posé pour la photo de famille qui réunit plus de six décennies d'apparitions cinématographiques et télévisées.
Un remake sobre et distingué du classique de 1941. On ne lui reprochera certes pas son casting (Benicio del Toro, Anthony Hopkins), mais quelques choix malheureux dans le scénario et certains effets spéciaux.
Travolta fout les pieds à Paris, et casse du méchant. Encore une grande production de la célèbre maison de Luc Besson, qui n'en finit pas de dépenser de l'argent à la gloire de la stupidité cinématographique.
Du flan sentimental, avec un taux de sucre très élevé, et un nombre de cuisiniers absolument sidérant. Pour pas grand chose, bien évidemment.
Mel Gibson revient en force dans un polar bien foutu avec aux commandes un Martin Campbell dans son style sombre qu'on aime tant. Mel a vieilli certes, mais a gardé tout son talent et son charisme qui crève l'écran.