L'originalité d'un sujet ne suffit pas à faire un long métrage, même quand on s'appelle Bertrand Blier. Reste le plaisir de voir Dujardin et Dupontel incarner respectivement un écrivain alcoolique et son cancer.
Avec son casting affichant pas moins de 24 burnes plus ou moins célèbres (oui oui, divisez par deux pour trouver le nombre d'acteurs), Stallone rame un peu pour fournir à la fois la dose d'action et le développement narratif nécessaire. Parfois, le mieux est l'ennemi du bien, et on frise ici l'indigestion de bonnes choses.
Star trop souvent méconnue du cinéma d'action, Dolph Lundgren occupe depuis une quinzaine d'années le territoire du direct-to-video. Désormais, il assure lui-même la réalisation, et s'en tire comme un chef.
Salt, ou l'histoire d'une supposée espionne russe qui se fraie un chemin pour déclencher la troisième guerre mondiale. Trop d'invraisemblances et de twists gâchés.
Hyper tension était un film d'action extrême et bien fou. Hyper tension 2 est deux fois plus extrême et trois fois plus fou. Qu'un tel morceau de bonheur ne soit pas sorti dans nos salles est tout simplement honteux.
Thématique à fort potentiel, mais sans adaptation parfaite, le rapport des adolescents avec le web demeure encore une nébuleuse. Ch@troom fait un pas en avant, mais ne déroge pas à la règle.
L'univers dépeint par David Ayer et James Ellroy, pourri par une institution policière corrompue, possède un charme certain mais ne brille pas par l'originalité de son scénario et sa moralité ambigüe.
Un sous-Matrix mélangeant Sliders et Highlander, sortant de la catégorie nanar grâce aux talents martiaux de Jet Li assisté par ordinateur.
Le divertissement typique des étés pourris : effets spéciaux potables, adolescents un peu crétins, blondasse à la ramasse, et résultat global mitigé.
Alpha Dog ou la mise en images d'un fait divers un peu fou, qui dresse un tableau sombre des jeunes trafiquants aux USA.