Sidekicks, partenaires de combat

/ Sidekicks, partenaires de combat (voir la critique Krinein)

Barry n'a rien pour lui : il n'a pas d'amis, pas de mère, son père travaille tout le temps, il est asthmatique, et ses résultats scolaires sont plus que médiocres. Il suffit qu'il donne une bonne réponse en classe pour parachever le portrait du parfait boulet social : le caïd du lycée Randy Cellini, humilié d'avoir sécher sur une question littérature au profit du jeune crétin blondinet, lui colle un surnom : Barry kiki. Ouch. Barry aurait tué si ce n'était pas interdit et réprimandé par la loi. Fort heureusement, Barry a une échappatoire : ses rêves. Grâce à son imagination débordante, il rejoint Chuck Norris dans ses films d'action les plus spectaculaires et devient son copain, son partenaire de combat, son sidekick. Armé de sa ventoline et de son magazine préféré, Chuck en couverture (pièce rare et unique), il déambule dans les couloirs en rêvant d'actes héroïques remplis d'arts martiaux.