L'échange des rôles dans un couple type : une formule bateau, prétexte à véhiculer allègrement les plus énormes clichés sur fond de stéréotypes des années 50. Manque de bol, ce n'est pas drôle non plus.
Après Menteur, Menteur, où il disait toute la vérité, rien que la vérité, Jim Carrey dit oui à tout pour nous faire rire. Krinein lui dit peut-être.
Film sympa sans grande ambition mais quelques très bonnes surprises au passage et des dialogues savoureux comme sait les préparer Kevin Smith. Le nouveau Kevin Smith messieurs et dames.
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Dans cette première partie, Soderbergh dresse un portrait plutôt conciliant du plus célèbre des révolutionnaires en prenant soin de montrer son évolution et sa vision politique. Sympathique.
Un premier film à l'écriture appliquée, qui laisse malheureusement un trop fort parfum de déjà-vu pour qu'on apprécie pleinement la mise en scène maîtrisée. Du film noir un peu scolaire.
Danny Boyle n'est jamais là où on l'attend (d'ailleurs, on ne sait plus trop où l'attendre). Cette fois, il part en Inde pour filmer une histoire de chance et d'amour sur fond d'aventure humaine. On l'a connu plus cynique.
Loin d'un Supergrave, Les Grands Frères propose une comédie américaine sans grande ambition mais affichant certaines qualités.
Film de la maturité pour Terry Gilliam, Fisher King est un conte moderne où l'on devient adulte en acceptant sa part d'enfance. Mais pas seulement.
Un peu de Sin City pour la couleur, un soupçon de Batman pour la ville, un zeste de The Mask pour rigoler. Et hop, The Spirit est tout indigeste. Pas cool après les fêtes.